mardi 21 octobre 2008

auf einmal einzunhemen banquet d’une fois d’un instant de toutes les fois rue de l’agent Bailly au 5 bis fond de la cour la porte ouvre sur une cour décorée pour l’occasion d’affiches table dressée pour une vingtaine de convives ivresse d’un côte de Beaune déclassé de 1973 les voisins qui nous jettent de l’eau pour mettre un terme aux agapes rien n’y fera la fête est trop belle les amis descendent du toit avec le champagne la vie est prometteuse douce comme cette nuit d’été putain que c’est loin aujourd’hui mais vite regarder la phrase de Seingalt qui surplombe la cheminée « la tristesse me tue » oui oui doucement maintenant cœur voix de cœur accroche toi une dernière fois